Cet ouvrage a été rédigé à partir d'un fond de correspondances entre des alchimistes. Il m'a été confié en vue d'une publication. Le Parergon est particulièrement mis en avant, c'est-à-dire la partie philosophique et spirituelle de ce Grand Art.
L'homme électromagnétique.
Les représentations « chimiques », locales et uniquement matérielles de l'homme et de la nature, déjà minées par la physique quantique s’effritent de jour en jour. Des expériences depuis longtemps diffusées dans l'ombre ou rejetées, car à contre-courant des idées dominantes, apparaissent désormais au grand jour. Cet ouvrage récapitule celles concernant les actions biologiques et médicales, de l’électricité, du magnétisme et des ondes.
Vendredi soir, l'association Résonances présidée par David Grenat a invité François Trojani à l’auditorium de la Médiathèque pour une conférence autour des "Aperçus numérologique et kabbalistique sur l’œuvre de Nostradamus": "Que ce soit par l’Alchimie ou par les subtiles investigations – une feuille après l’autre des 27 lettres ou bien une branche après l’autre de l’arbre toujours vert des Sefirots – ceux qui ont vraiment eu accès à cette source sont rares, leurs écrits sont généralement nombrés et symboliques et leur vie mystérieuse." C'est une conférence pointue et très ciblée qui a été proposée à de très nombreuses personnes fascinées par les messages de Nostradamus: "Une partie du message de Nostradamus est crypté "phonétiquement". Il avait une parfaite connaissance de cette langue des oiseaux ou de ce langage diplomatique cher aux alchimistes". François Trojani maîtrise en plus sur le bout des doigts son sujet. Ecrivain hermétiste, il est l'auteur de plusieurs ouvrages et a écrit de nombreux articles sur l’Alchimie notamment dans La Tourbe des Philosophes. Il a notamment collabiré à la revue Arcadia, la Lettre de Thot, Les Chroniques de Mars...
En photo François Trojani et David Grenat (à droite)
Aperçus numérologiques et kabbalistiques sur l’œuvre colossale de Nostradamus - 1167 vers -, soit, autant que l'addition des 22 polygones réguliers. On ne s'étend pas dans cette étude sur les aléas de l'histoire des hommes, mais sur les cycles et les nombres qui tissent toutes choses dans l'univers, y compris la quasi-totalité des ouvrages Sacrés. Voyant peut-être -beaucoup se sont fourvoyés dans cette impasse -, mais surtout, canal et révélateur, grâce aux sacrées lettres de l’alphabet hébraïque -, d'antiques et traditionnelles connaissances. En un mot, l'œuvre de ce Missionné relève bien plus de la « Prophétie » que d'une « vision prémonitoire de l'avenir ». Toute son œuvre nous signifie l'incontournable usage des NOMBRES lorsqu'on entreprend d'entrouvrir le voile du Sacré.
Cette suite d'estampes de la renaissance italienne est attribuée au peintre Mantégna. Elle n'a que peu de choses en commun avec les tarots, dit de « Marseille ». Il s'agit surtout d'une suite d'images symboliques du « quattrocento » italien, résumant les principales connaissances géométriques, alchimiques, philosophiques et magiques de cette époque.
Le commentaire est ici principalement axé sur les différentes étapes du Grand Œuvre des alchimistes.
Auteurs : A. Savoret, B. Husson, F. Trojani, C.-G. Dubois.
Dans cet ouvrage collectif, François Trojani commente dix-sept des 78 figures du « livre muet » de l'alchimiste Jean Conrad Barchusen. On peut noter que 78 est la valeur chiffrée de I.H.V.H ajouté à celle d'Élohim, soit une signification on ne peu plus claire de l'origine et de la qualité de cet « Aether », au sein duquel émerge et se cristallise la Pierre des Philosophes.
Thème : Alchimie
Article par F. Trojani : Une relecture du Monde.
Quelques essentielles idées sur ce qui différencie le Grand Œuvre des Alchimistes de la spagyrie, de la récente chimie et de la recherche de « l'or des mines ».
.....Obnubilés par nos sciences, là où nous ne voyons généralement que des microbes, des anomalies cellulaires, des toxines ou des infections, les envoyé du Père y distinguent des métaphysiques ou spirituels "lieux de chute", des erreurs de vie coagulées et des péchés. Ainsi, considérant chaque être humain dans son universalité, c'est le "mal en général" qu'ils tentent d'éradiquer dans chaque individu en particulier.
En un mot, dans chaque être humain, ils y distinguent la création toute entière en train de se constituer, de se parfaire, de s'accomplir ou de s'affaisser....
Article.
On retiendra particulièrement le Numéro 34-35 du troisième et quatrième trimestres 1990 lequel est une suite obligée du précédent article paru dans la revue « le 3e millénaire ». Il concerne la différence entre les voies dites « des particuliers » et le Grand Œuvre.
Préface de F. Trojani
» Tout comme le moi au plus profond de notre intimité, il est des ouvrages qui ne peuvent se lire que par un retournement intérieur de l'être. Ainsi, cette Nuée sur le Sanctuaire ne se dévoile vraiment qu'à un regard spirituel : ce texte fait partie des ouvrages - fort rares -, où croyant lire des signes sur le papier, il nous arrive de nous lire nous-mêmes"
Préface de F. Trojani
Dans cet incontournable ouvrage sur les transmutations alchimiques et les faiseurs d'or par le plus érudit des alchimistes de ce siècle - réédition Dervy 1980 - François Trojani rend un hommage à son vieil ami et compagnon de route Bernard Husson.
Préface de F. Trojani
Au sein de ses infinies manifestations, « l’Éther » de la Lumière issu de la Matrice Originelle, trouve ici bas sa « figuration" dans un schéma géométrique d'un tracé précis. C'est ce que révèle cet ouvrage au croisement du "fixe" et du "mobile", analogue à ce que constatent les alchimistes aux angularités médiatrices de leur "Rubis" issu de l’Éther de chimie. Je n'ai pas d'autre prétention dans cette préface que d'exposer à ma façon ce que j'ai pu comprendre, en compagnie de ce maître et ami, des sublimations et des coagulations philosophiques de "l'espace."
Article F. Trojani
« Tout consiste donc à extraire de la chute et de conduire vers une commune et unanime présence, une “Alliance”, trois principes qui résument l'univers de “l'étant” minéral, jusqu'à la
communion des essences. On y trouvera de même, sommairement évoqués, les problèmes que posent la mort, la pauvreté et la maladie que l'aboutissement du Grand Œuvre a pour objet
d'éradiquer ».
Entretien de F. Trojani avec Dominique Droz
« Comme Young l'a brillamment démontré, le foisonnement et l'universalité des symboles alchimiques débordent largement et naturellement le cadre des Athanors, du laboratoire, des creusets et de ce que ces chercheurs ont désigné comme “l'Ergon”. Ce que dissimule les principes Soufre et Mercure, - soit le mâle et la femelle -, que dans son “petit monde” l'Artiste manipule, fait qu'ils se rencontrent, se fiancent, s’épousent et donnent naissance à un Fils couleur de Rubis », rénovateur du monde -, s'applique analogiquement au couple humain".
En Maître accomplit de cette antique science, Charles Caruana m'a fait l'honneur de me convier à préfacer son incontournable travail.
« L'astrologie, au sein de la Doctrine Hermétique, n'a pas pour rôle, je le répète, d'augurer l'avenir. Par une sorte de comptable et implacable mécanique. Elle suggère et signifie. Elle a pour prétention de se situer à la charnière entre la liberté et la fatalité, de servir de support et d'objet réflectif. Elle hypothétise et relativise la logique et l'irréversible déroulement de l'histoire de la vie, laquelle paraît souvent incontournable dans ses affaissements ou dans ses cafardeuses avenues.
Elle à quelque chose a voir avec une promenade bucolique, avec l'insouciance et le rêve. Elle a de quoi rendre fous les gens pressés, les avides et les scientistes de tout crin. Elle est conçue pour les migrateurs... L'astrologie est invraisemblable. Par cela même, elle a quelque chose à voir avec l'homme, avec la plume des mots et le duvet des jeux ».
"Loin de se réduire à la description ou à la découverte d'un « objet » phénoménal, l'alchimie conduit ses adeptes à vivre le miracle omniprésent de la création, « internelle », temporelle et corporellement présente.
Aussi, l'image populaire de l'alchimiste décrit comme un vieillard qui s'est quelque peu exclu du monde, à la recherche de l'or artificiel, et analogue à celle du vieux Saturne, du sombre Vulcain des mythes grecs ou des orpailleurs des rivières, est à prendre avec réserve et discernement.
Participation à ces courtes études sur le symbolisme de « Marie Madeleine.
“Nous ne saurons sans doute jamais quelle a été la véritable figure de Marie-Madeleine”. Après sa mort, la légende lui a donné de multiples visages : pécheresse dont le Christ a chassé sept démons, riche courtisane avec son vase à parfums et ses aromates, pénitente, premier témoin éploré de la Résurrection, sainte chevelue rachetée par son amour et “Ravie” par les Anges à la Sainte Baume... Dans cet ouvrage, des mythologues, des historiens de l'art, un alchimiste et des cabalistes tentent, à travers une approche plurielle de retrouver le sens de son mystère et des mythes qu'elle a cristallisés ».
Bien que le mystère perdure malgré le titre « accrocheur » cette magnifique et incontournable investigation de Geneviève Dubois sur « l'affaire » de l'alchimiste Fulcanelli apporte quelques lumières sur cette étrange histoire. Elle avance et développe ainsi l'hypothèse que « l'inénarrable" Julien Champagne pourrait bien être le rédacteur du "Mystère des Cathédrales" et des "Demeures Philosophales", voire, "l'insaisissable" Fulcanelli lui-même.
Inséré dans cet incroyable bouillonnement de doctrines, de sectes, d'initiés, d'églises et de pouvoirs magiques que nous dévoile ce numéro spécial de la revue « l'originel », Charles Antoni, son fondateur et animateur, à accepté mon article sur le Thaumaturge Chrétien, Maître Philippe de Lyon. Loin de toutes ces faustiennes prétentions, la vie et les guérisons innombrables de cet être de Lumière, montre que l'amour et la charité sont des sources inépuisables de pouvoirs inouïs.
Voir : Arqa. François Trojani.
À « Espejitos »… Que peut-on dire de ces paradoxes que les mathématiciens eux-mêmes ont le plus grand mal à résoudre, et qui permettent d’énoncer des propriétés opposées à nos attentes, sans toutefois qu’une contradiction apparaisse ? Pour évoquer Stephen Jourdain, ce serait sans doute une folie que de tenter une comparaison de sa vie avec les théories de Bolzano ou de Cantor, lesquelles concernent la taille « des ensembles infinis» ou de «l'infini actuel» ; cependant, et suivant mon avis, très peu d’autres approches peuvent rendre compte de ses singularités. En un mot, ou plutôt en une image, «être contenu dans» n'est pas «avoir une taille plus petite que». Dès lors, un ensemble «A» peut être contenu dans un ensemble «B» alors même que «A» présente une taille ou un «cardinal», dit-on, égal ou plus grand que «B»… Je laisse à chacun le soin de le vérifier, mais j'avance l'hypothèse qu'aucune autre théorie ou philosophie que celle de ces «paradoxes» mathématiques, ne permettent de concevoir cette manifestation de «l'infini actuel» que représentait cet Ami et dont il est venu nous entretenir.
Bien que la «logique formelle» ou la situation exacte et le «réel» des «objets quantiques» - dont nous aussi sommes faits, ne l’oublions pas - aient depuis quelques
décennies fortement battu en brèche, le «Oui» ou le «Non», la logique formelle et dans d’autres strates ce que nous désignons habituellement comme «Dieu» et «Diable», voire le
«bien» et le «moins bien», incontestablement, le «vide» et le «plein» se conjuguaient dans cet être on ne peut plus paradoxal où se transmutaient ces
« oppositums »… Beaucoup y ont perdu leurs repères, ou «les pédales» comme on dit plus vulgairement, et comme cet homme échappait à toutes les
situations envisageables, plusieurs se sont efforcés et s'efforcent encore de le «comprendre», ou de le réintroduire dans du «connu»… |